Mariée et mère de quatre enfants.
Crée le Grand Cèdre en 2017, espace partagé au cœur de Chalon-Sur-Saône.
de 2008 à 2023 :
– Sophrologue-Expert, (nouvelle dénomination du titre de Master) diplômée par le Réseau des Académies de Sophrologie, école d’enseignement déléguée officiellement par la Fondation Alfonso Caycedo.
– Sophrologue praticienne socio-prophylactique diplômée par l‘Institut de Formation à la Sophrologie-Paris, formation reconnue par la Direction du Travail, de l’Emploi et de la Formation Professionnelle, certifiée OPQF.
Formée à la relation d’aide Rogersienne.
Participe au Réseau de formation permanente de la Parenthèse qui regroupe plus de 700 sophrologues de la région lyonnaise.
– Animatrice – formatrice en Pédagogie des Gestes Mentaux de l’Apprentissage (Antoine de la Garanderie).
Co-anime les stages de Gestion Mentale-Peinture : » (Re)connaître son intelligence pour (re)trouver le plaisir d’apprendre.
– Illustratrice de livres, albums pour la jeunesse, CD : la Reine des Poissons et l’Oranger magique de Mimi Barthélémy, le Mythe d’Aristophane de Platon…
Travaille actuellement sur une bande dessinée à paraître chez Chronique Sociale sur la place des parents dans l’accompagnement scolaire de leurs enfants.
Physicienne de formation, DEA d’Hydrogéologie Qualitative et Quantitative, à Paris VI Pierre et Marie Curie – Ecole des Mines de Paris (Fontainebleau).
Issue d’une famille attachée aux arts du spectacle, elle s’est formée aux techniques du théâtre, clown et communication. Elle a réalisé plusieurs spectacles, créé des décors et des costumes, animé des ateliers de théâtre et clown.
Elle a créé et tenu avec son mari photographe Pierre Bourdis, un restaurant végétarien pendant 4 années à Chalon-sur-Saône.
« La rencontre avec la sophrologie s’est faite après un parcours de vie qui m’a conduite d’étonnements en surprises, de découvertes en expériences, d’apprentissages en acquis.
Progressivement, j’ai construit qui j’avais à être…
J’aurais donné cher pour savoir où ces mille et une voltes me mèneraient, pour pouvoir expliquer la complexité du chemin emprunté. J’ai navigué sans autre boussole que l’impérieuse nécessité de rester en accord avec mes valeurs : aimer la vie, mettre de la passion dans tous mes choix, rester vraie, et ne jamais oublier de chausser au réveil les ressorts qui me tiennent lieu de chaussures.
Et sans cesse, je tentais de rassembler les pièces si dissemblables que j’accumulais.
Tout ça finirait bien par former sens…
Et comme prend la glace à la surface d’un étang très froid parce ce que le vent y fait tomber une feuille, « ça » a pris!
C’est à 45 ans que je me suis sentie prête,
prête à accompagner d’autres quêteurs
et la sophrologie m’a paru constituer un bel et riche outil. »